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Témoignage Emilie MICO


19/09/2019

 

 

2 BNI Emilie MICO 2 

 

Témoignage Emilie MICO membre du groupe BNI Avenir Business 34

 

« Quand on part du principe que l'on peut tout mettre en commun, la « respiration BNI » ne s'arrête jamais. »

 

Quelle activité représentes-tu au sein de ton groupe ?

Nous avons un hôtel trois étoiles restaurant-traiteur, sur Pézenas. Mon mari Yannick a l'affaire depuis 16 ans. Je l'ai rejoint il y a dix ans, après avoir quitté mon emploi dans une banque. Nous le gérons tous les deux depuis. Yannick s'occupe de la cuisine. De mon côté, je me charge de l'organisation générale, des repas, des soirées, des événements. Je développe le côté relationnel, chose qui me tient vraiment à cœur.
Je suis très fière de notre affaire. À la base, ce n'était qu'un snack. Mon mari a obtenu le label maître-restaurateur de cuisine.
Ensuite, voulant façonner le lieu à notre image, nous avons réalisé beaucoup de travaux. Nous tentons d'améliorer sans cesse nos prestations. Les chambres et le restaurant ont encore été refaits il y a quelques mois. Nous voulons à tout prix que nos clients se sentent bien chez nous. L'aspect familial est pour nous d'une importance primordiale.
Nous avons seize chambres. De la double-standard à la suite avec terrasse, sans oublier la chambre pour personne à mobilité réduite. Enfin, élément non négligeable, nous accueillons le BNI tous les jeudis matins !

 

D'où vient ta volonté de rejoindre BNI ?

Ma réponse sera curieuse... BNI, on ne connaissait pas du tout, jusqu'au jour où nous avons été démarchés par notre comptable. Il désirait savoir si nous avions une salle à mettre à disposition du BNI. C'est à ce moment-là que nous avons mis le pied à l'étrier. Mon mari a intégré le groupe dans la foulée. Je dois avouer pour ma part qu'étant encore un peu à l'extérieur, je n'arrivais pas vraiment à comprendre ce qu'il s'y passait. Et puis, un jour, une circonstance a voulu que je le remplace. Au final, cela s'est tellement bien passé que je lui ai pris sa place ! Je me suis sentie de suite en terrain familier, et comme Yannick est d'une nature plutôt réservée, c'est une affaire qui roulait pour tout le monde.

 

Quels ont été les impacts sur ton business ?

Ils ont été assez notables. Première chose, nous avons eu les petits-déjeuners BNI du jeudi matin. J'ai ensuite rencontré de très belles personnes qui nous ont fait confiance. Par le biais de tête-à-tête, on finit tous par entrer dans l'intimité des uns et des autres. Une fois que le climat de confiance est installé, la machine ne s'arrête plus.
En termes de chiffre d'affaires, en deux ou trois mois, nous avions rentabilisé notre cotisation. Mais ce n'est pas tout, de belles amitiés se sont aussi créées. Le groupe de Pézenas est pour moi comme une deuxième famille. Nous sommes tous très solidaires les uns envers les autres.

 

Qu'est-ce que l'esprit « 100% BNI » selon toi ?

Ma petite phrase fétiche, que j'ai sortie un jour en réunion et que l'on répète maintenant souvent : « Le BNI ce n'est pas que le jeudi ». Nous sommes tous en contact tous les jours avec une multitude de personnes. L'esprit 100% BNI, pour moi, c'est penser aux co-membres en permanence. Un coup de fil ne coûte rien, et peut apporter beaucoup. Quand on part du principe que l'on peut tout mettre en commun, la dynamique, la « respiration BNI » ne s'arrête jamais. Je ne vis pas BNI, mais pas loin ! Enfin, de manière plus générale, je suis très satisfaite de pouvoir aujourd’hui aider quelqu'un d'autre à développer son entreprise.
D'un point de vue des réunions, maintenant, il y a quelque chose que je fais pratiquement tous les jeudis matins : c'est apporter du visuel, des dégustations, tout ce qui a pour but d'accentuer « l'infomerciale ». Cela peut aller très vite, si on a un élément marquant. Je suis toujours en train de me creuser la tête. Comment vais-je pouvoir les surprendre ? Qu'est-ce qui va leur donner envie de venir ? Nous sommes capables, avec ma petite équipe, à six heures du matin, de sortir un carré de côte de boeuf pour le leur présenter !

 

Recommanderais-tu BNI à d'autres entrepreneurs et pourquoi ?

Forcément. À 200 %. Je n'y serais pas depuis quatre ans sinon. Le marketing de bouche-à-oreille est à mon sens le meilleur moyen de développer son activité. La recommandation est une technique imparable pour développer son business. Et tout se fait dans la joie et dans la bonne humeur. Qui ne serait pas prêt à se lever une fois par semaine pour vivre cela ? J'ai envie de dire aux entrepreneurs qui hésitent à franchir le cap : venez voir, l'essayer, c'est l'adopter !